Les Bad Biches sont une famille de créatures qui arpentent les nuits de France et de Navarre en offrant chaque soir un spectacle nouveau dans la tradition du Cabaret.
Explorant la Chanson Française, l'adrénaline du RNB, la force de l'Opéra, le drame Italien et les morsures du Punk, elles vous traînent la pâte dans leurs histoires avec une impertinence qui leur est propre.
Pour les vaillants·es qui seront sur la capitale au moment fatal, Les Bad Biches vous proposent un échauffement dont seules elles ont le secret. On va vous étirer dans tous les sens pour bien profiter de l’été. Donner du fil à retordre aux sports de haut niveau, leur rappeler que nous aussi on joue gros et que la plus belle compétition c’est celle qu’on gagne ensemble. Alors on vous donne rendez-vous le 20 juillet à partir de 20h !
Présentation des créatures :
Louison du Broca :
"Née dans un écrin rose poudré, parée de Kitsch et de drames italiens, Louison est d'une mythologie à laquelle on avait oublié de croire, pourtant pendue à ses lèvres se trouvent toujours des miettes d'espoir."
Constance Palmer :
"Doyenne de toutes les Biches, la Palmer tire sa voix grave de toutes les époques qu'elle a traversées. Malgré son apparence tragique, elle sait aussi se montrer explosive."
Gloria et G10ry013 Hagenmoss :
"Gloria hurle et murmure. Elle se prend pour la Vierge et Nina Hagen. Elle aime tout le monde même le patriarcat qu'elle aime a coup de talon de 16 dans la tête !
Parfois se pointe son petit frère G10ry013, derrière son nom de virus informatique gay, se cache un cœur tendre comme un steak tartare, laissez-le vous menez dans un spleen techno-queer!"
Miss Clit’ :
"Restée bloquée dans les heures de gloire d’une Loana, Miss Clit’ est une biche apôtre des millenials nostalgiques de Diam’s et Kamaro. Actrice de charme ratée, plus plastifiée qu’un océan, voici les chants d’une sirène en mâles d’amour."
Véna l’Étincelle :
"Fille naturelle de Patrick Sébastien et Nadine de Rothschild, ce moulin à parole aux allures thatchériennes partage ses avis bien tranchés sur notre temps politico-médiatique, lorsqu’elle ne pousse pas la chansonnette pour faire tourner une serviette."