Vous entendez ce bruit ? Ce mélange explosif de sonorités électroniques et d’hyper pop ?
C’est ainsi que KALIKA débarque avec son premier album « Adieu les monstres », disponible le 5 mai. En guerrière pop, elle recrée le chaos de son enfance, s’interroge sur le passage au monde adulte, pour pouvoir mieux dire adieu aux monstres de son passé.
Auteure, compositeure, interprète, aux textes bruts empreints de grande chanson française, cette Catherine Ringer des temps modernes affirme sur ce disque des sonorités pop à la production léchée.
Ce bruit, c’est aussi celui que fait le KALIKA Gang quand il débarque, "cette communauté qui s’est sentie à part au moins une fois dans sa vie parce qu’elle sort des cases". Communauté qu’elle fait également vivre au travers de son Skyblog dédié au Kalika Gang qu’elle a réouvert à l’occasion de la sortie de son single. Celui donc qu’insuffle KALIKA quand elle arrive sur scène. Celui aussi que fait Mia lorsqu’elle sort de sa coquille pour laisser toute la place à KALIKA. Un alter ego qu’elle a choisi pour rendre aussi bien hommage à Sara La Kali, la sainte des gitans, une communauté avec laquelle elle a grandi, qu’à la déesse hindou Kali, la divinité de la déconstruction et de la reconstruction.