Voici le loup émergeant du théâtre en hiver.
Impression de parenthèse qui n’existe pas. Il résonne en lui la mélodie bien connue, appel à la rencontre : « Amour me tue, et si je ne veux dire / Le plaisant mal que ce m’est de mourir : / Tant j’ai grand peur, qu’on veuille secourir / Le mal, par qui doucement je soupire. / Il est bien vrai, que ma langueur désire / Qu’avec le temps je me puisse guérir : / Mais je ne veux ma dame requérir / Pour ma santé : tant me plaît mon martyre »
Deuxième nuit, fin’amor
Ouvrir une porte
Emprunter un passage
Imaginer la boîte de nuit comme la cour des épris