Perdu quelque part entre les ruelles mystérieuses d’Istanbul des années 70, le soleil brûlant et la mer bleue cristalline de Jaffa, Tel Aviv, le premier album éponyme de Şatellites sortira sur Batov Records le 1er avril.
Le son des Şatellite oscille entre folk turc traditionnel et instrumentation, guitares psychédéliques éthérées et des lignes basses groovy calibrées pour le dance-floor. Le résultat est une concoction de chansons qui s’inspire d’influences continentales, mais dont le cœur est le désir d’illuminer les qualités vives de la musique turque classique, en honorant les artistes folkloriques et psychédéliques anatoliens de cet âge d’or.
Du disco-funk de Disko Arabesque à la guitare solo céleste de Yağmur Yağar Taş Üstüne, le groupe ajoute du feu et de l’éclat aux morceaux traditionnels de la musique turque en leur donnant de nouvelles significations. Couvrant des morceaux importants tels qu’Olurmu Dersin de la chanteuse Kamuran Akkor et Yekte du musicien et guitariste Zafer Dilek. L’album couvre un éventail de morceaux originaux de différents styles musicaux et de sons, qui ont jadis et continuent de jaillir de la Turquie.
+ Mat El Said
Des beats funky, des basses groovy, orgue et derboukas sur des samples de chants arabes, Mat El Said offre une musique taillée pour la danse et le voyage, un univers mixant nostalgie et modernité.
Une ode au mélange des cultures. Sur scène, la musique se mêle à la projection d'extraits de films super 8 amateurs et autres documentaires vintages. Un spectacle qui vous plonge dans un Maghreb rétro sur fond d’électro. Ces collages vidéos habilement agencées forment ainsi des courts-métrages dont Mat El Said aurait composé la bande son.